La sorbonne

La Sorbonne, Paris V, vendredi 25 mars 2006, 19h00

Une foule de manifestants bloque l'université sous les cris de " Villepin, on t'enc*** " ne laissant personne entrer. Cette masse est composée de jeunes étudiants manifestant contre un certain contrat , qu'ils qualifient de précaire pour eux. Mais comme dans toutes les manifestations, il y a des casseurs qui errent afin de faire le maximum de dégats.

Cependant, certains étudiants veulent travailler et tentent de forcer le passage. Une bataille éclate, sanglante, sans pitié. Les CRS furent appelés en renfort pour mater cette révolte.

Le premier car arrive, rempli de tireurs d'élite prets à tuer les leaders de ce mouvement.

Tout d'un coup , à l'est, un groupe de personne sorti d'une voiture noire, blindée : "C'est Villepin !!"
En effet, l'homme encadré de ses gardes du corps et bien le ministre à l'origine de cette loi qui fait tant parler d'elle. Il se dirige en direction des jeunes. "J'entends vos réclamations, j'entends vos protestations, nous pouvons discuter" Mais les jeunes n'avaient aucune envie de discuter et foncèrent sur le premier ministre pour tenter de le tuer. Ses gardes du corps ripostèrent et les jeunes mourraient à la pelle.

Un car de CRS fit un dérapage sur le tarmac: 6 personnes, armées jusqu'aux dents en sortirent et se dirigèrent vers le champ de bataille.
Puis un autre car, puis un autre. Tous les CRS se dirigèrent, en formation serrée, vers les jeunes. Trois motos foncèrent sur les manifestants et tuèrent un casseur, qui eu le temps de renverser une moto.

Désormais, personne ne savait de quel coté étaient leurs ennemis. Ils tapaient aveuglément sans se poser de question ...

La Sorbonne, Paris V, vendredi 25 mars 2006, 23h00
Plus de bruit, plus de manifestant, plus personne en réalité. Des cadavres gisaient par terre, ensanglantés, puants ...

Un homme seul se tenait debout, mais il était mal en point. Les CRS s'étaient repliés, les manifestants étaient morts ou en fuite. Le minstre se redressa, regarda le désastre l'air dépité.
Une main qui se lève, dans un dernier effort, une gachette pressée, une balle qui part. S'en est finit, le ministre s'écroula par terre, une balle dans le dos ....

PS: woala en gros le scénario d'hier

Comme quoi on est pas les seuls frappés:



Trouvé en fouillant dans mes messages de la frenchwaaaagh...